lundi 23 mars 2009

SpaceShipOne


Le SpaceShipOne (Vaisseau Spatial 1) est le premier avion expérimental privé américain ayant volé dans l'espace à plus de 100 km d'altitude, c'est-à-dire au delà de l'atmosphère terrestre (selon la définition de l'UAI).

Historique
Le 20 mai 2003 a eu lieu le premier vol en automatique du SpaceShipOne de la société américaine Scaled Composites.
Le 21 juin 2004[1], lors de son 15ème vol, l'engin piloté par le pilote d'essai et astronaute Mike Melvill, a atteint l'altitude historique de 100,095 km pour effectuer le premier vol privé dans l'espace.
Le 4 octobre 2004, date anniversaire du lancement du premier satellite dans l'espace Spoutnik 1, il a gagné le Ansari X Prize en effectuant un second vol spatial cinq jours après le premier, en battant du même coup le record d'altitude (314 750 pieds) de l'avion-fusée américain X-15. Le second vol devait être fait dans les deux semaines pour obtenir le prix.
Le milliardaire Richard Branson, patron du groupe Virgin Group et de Virgin Galactic, fait développer et fabriquer actuellement une version SpaceShipTwo pouvant emporter 2 pilotes et 6 passagers dont le premier vol d'essai etait prévu pour 2007 mais a été annulé, les premiers essais sont reportés pour courant 2008.
SpaceShipOne est exposé au National Air and Space Museum à Washington DC aux États-Unis depuis le 5 octobre 2005.

Contexte
Développé et construit sous fonds privés et en grande partie financé par le milliardaire Paul Allen à raison de 20 millions de dollars, en dehors de tout cadre gouvernemental, cet engin a démontré la faisabilité de concevoir et de gérer un petit engin capable d'un très court séjour dans l'espace. Cette réussite inaugure l'ère du tourisme spatial.
Scaled Composites concourt à l'Ansari X-Prize, un prix créé par la fondation X-Prize en mai 1996 qui doit récompenser la première société privée capable de faire voler un véhicule spatial emportant au moins trois membres d'équipage (ou un pilote humain et l'équivalent en ballast des deux autres) à une altitude de 100 kilomètres et ensuite répéter la même opération avec le même véhicule spatial dans les deux semaines.
Divers

Le SpaceShipOne prend son envol depuis l'altitude de 16 000 mètres, étant largué depuis son avion porteur le "White Knight" décollant depuis le désert des Mojaves. Celui-ci a été ainsi baptisé en référence à deux pilotes de X-15 de l'USAF, Robert Michael White et William Joseph Knight, qui dépassèrent la limite des 50 miles d'altitude à bord de l'avion-fusée dans les années 1960.

jeudi 12 mars 2009

windows 7 l'actuel


(précédemment connu en tant que Blackcomb et Vienna) est le nom donné par Microsoft au système d'exploitation successeur de Windows Vista. Comme l’a confirmé Mike Nash le 13 octobre 2008[2], « Windows 7 » sera bien l'appellation officielle et définitive de ce système. En identifiant cette nouvelle mouture par son numéro de version, Microsoft renoue avec une logique abandonnée depuis Windows 3.1. La tradition voulait jusqu’ici que les versions de Windows soient identifiées par référence à l’année de sortie (Windows 95…) ou par une appellation ad hoc (Windows XP ou Windows Vista).
La date de sortie de Windows 7 fait encore l'objet de nombreuses spéculations. Ben Fathi, vice-président de la Windows Core Operating System Division, avait assuré que le délai d'attente exceptionnellement long entre les sorties de Windows XP et de Windows Vista (un peu plus de 5 ans) ne devrait plus se reproduire[3]. Il sortira normalement en 2010. Mais certaines sources indiquent qu'il sortirait le 3 juin 2009[4].
La sortie de Windows 7 prend place dans un contexte particulièrement sensible pour Microsoft. Windows Vista a connu des difficultés pour s’imposer comme le successeur de Windows XP. Ainsi, en août 2008, la part de marché de Windows Vista s’élevait à 20 % contre plus de 70 % pour Windows XP[5]. D’autre part, Microsoft semble devoir faire face à une érosion certes limitée mais bien réelle de sa part de marché globale dans le domaine des systèmes d’exploitation[6]. C’est pourquoi Windows 7 représente un enjeu majeur pour Microsoft.
Cette nouvelle version de Windows reprend l’acquis de Windows Vista tout en apportant de nombreuses modifications, notamment par divers changements au niveau de l'interface et de l'ergonomie générale, un effort particulier pour la gestion transparente des machines mobiles et le souci d’améliorer les performances globales du système par rapport à son prédécesseur.

lundi 9 mars 2009

dubai towers




Sama Dubaï, le bras de promotion immobiliere et d'investissement de Dubai Holding, a aujourd'hui annoncé le lancement de « Dubai Towers » « Dubai » ™, une ensemble de tours époustouflantes qui s'unissent pour former une sculpture vraiment inspirante et dynamique.

Pièce maîtresse du Quartier d'Affaires Central, le «Dubai Towers - Dubai»™ comportera quatre tours de tours dernier cri à des fins résidentielles, commerciales, de commerce de détail et d'hôtellerie. S'étendant sur 57 à 94 étages, la date estimée de réalisation du complexe « Dubai Towers – Dubai™» est fixée à la mi-2010. Lancées sous la marque «˜Dubai Towers»™ de Sama Dubaï, les structures iconiques comporteront un concept choréographé en termes de forme et de fonction pour représenter de manière métaphorique le mouvement de la lumière de bougie. Farhan Faraidooni, PDG de Sama Dubai, a indiqué : « Symbolisant l'espoir, la croissance, l'harmonie et l'opportunité, le «Dubai Towers «" Dubai»™ représente une occasion d'investissement unique pour les personnes cherchant une expérience en termes de style de vie d'entreprise ainsi que la paix et la tranquillité dans les sept îles admirablement aménagées en parc de «The Lagoons ™ ».  Visible à partir de grandes distances en tant que caractéristique principale des «Lagoons ™ », «˜Dubai Towers»"Dubai»™ reflètera la vision futuriste et l'engagement de UAE ™ à encourager la créativité et l'originalité. Faraidooni a ajouté: « En tant que signature caractéristique de Sama Duba, l'enseigne Dubai Towers»™ s'est engagée à partager avec le monde entier les réalisations évolutives et novatrices de Dubai»™ dans le secteur de l'immobilier. Dans chaque pays identifié en tant que marché potentiel pour «Dubai Towers™ », le Sama Dubai ™développera des tours exclusives qui reflèteront sa personnalité distinctive».

dimanche 1 mars 2009

midori le futur windows


Début juillet, nous apprenions l’existence de Midori, le futur système d’exploitation de Microsoft et très probable successeur de Windows 7 qui lui est attendu pour 2010.

Aujourd’hui, on en apprend un peu plus sur Midori (nom de code que l’on traduit par vert en japonais), un OS centré sur Internet. Celui-ci n’est basé sur aucun Windows précédent, Microsoft ayant préféré repartir de zéro. Enfin de zéro pas tout à fait puisqu’il sera issu du projet Singularity, lancé depuis quelques années déjà.
Midori utilise des outils et bibliothèques dont le code est dit managé (ou géré), c’est-à-dire qu’il s’exécute via une Machine Virtuelle et non plus par le processeur. De fait, Midori pourra donc fonctionner sur un PC à architecture x86, x64 et ARM, ou bien être hébergé via l’hyperviseur Windows Hyper-V ou même un processus Windows. Il pourrait également employer un nouveau système de fichiers baptisé Cosmos et qui emprunterait pas mal à la base de données SQL.
Contrairement à Windows, Midori possèdera, à son plus bas niveau, deux noyaux : un micro-noyau composé de codes non géré qui contrôle le matériel et l’environnement, et à son niveau plus haut un noyau de services managés qui fournissent l’ensemble des fonctionnalités du système d’exploitation.
Microsoft souhaite faire en sorte que les applications Midori puissent coexister et interagir avec les applications Windows actuelles, ce qui est plutôt une bonne nouvelle et de toute façon un élément quasi nécessaire pour emmener le public à migrer vers ce nouveau système.
D’après la documentation dévoilée, Midori sera construit sur une architecture uniquement asynchrone (Asynchronous Promise Architecture) qui permet une exécution plus rapide avec l’utilisation en parallèles de ressources locales (qui interagiront via la mémoire partagée) et une gestion dynamique de le la puissance et des autres ressources.
Cette architecture permettrait par exemple à Microsoft de vendre son OS avec un abonnement à l’année incluant les mises jour.
Les processus logiciels seront isolés entre eux et séparés du système d’exploitation en lui-même afin de diminuer drastiquement les erreurs programmes et de protéger les autres applications. Midori sera donc très compartimenté dans sa conception afin d’être plus sûr mais également aussi stable que possible. Le but est également de faciliter le travail des développeurs, les applications Midori pouvant être développées en langages .NET.
Pour l’instant, Midori est considéré comme un projet de recherche en incubation, ce qui signifie qu’il pourrait bien être lancé un jour, ou sous une forme approchante. De fait, une première version de Midori programmée sous C# a été distribuée l’année dernière à des fins de tests.
Evidemment, le lancement de Midori, s’il doit avoir lieu, n’est pas prévu pour tout de suite puisqu’il faudra d’abord compter avec Windows 7, le successeur de Vista prévu pour 2010. Midori ne verra donc certainement pas le jour avant au moins 2012.

Source : SDTimes]

vendredi 27 février 2009

Rolls-Royce Motor Cars


Rolls-Royce Motor Cars ltd, est un fabricant d'automobiles de luxe, propriété de BMW Group, qui a lancé en janvier 2003 son premier modèle depuis le rachat de la marque par BMW Group, la Rolls-Royce Phantom, équipée d'un moteur V12 de 6,5 litre de cylindrée dérivé de la BMW Série 7, dans une carrosserie en aluminium (sauf les ailes avant en composite et le capot de malle arrière en acier) et un intérieur en marqueterie précieuse.

[modifier] Histoire
La continuation de la division automobile originelle est localisée à Crewe depuis 1998 par Bentley Motors, propriété du groupe Volkswagen. Les voitures Rolls-Royce et Bentley partageaient la plus grande partie des éléments mécaniques depuis 1931, lorsque Bentley fut absorbé, sauf pour des détails comme la grille de radiateur. Mais, depuis 2003 la société ne peut plus mettre le nom Rolls-Royce sur ses véhicules.
L'usine RR est sur les terres de Lord March, non loin de Goodwood House et de son circuit automobile mythique, dans le Sussex de l'Ouest. Là se déroulent tous les ans deux incontournables manifestations automobiles : le (Goodwood Festival of Speed) festival de vitesse de Goodwood en juillet et le rassemblement de renaissance Goodwood, (Goodwood Revival) en septembre.

[modifier] Modèles d'automobile
En 2005, une version Extended Wheel Base de la RR Phantom est apparue au catalogue.
En 2007, Rolls-Royce a lancé une version décapotable nommée Phantom Drophead Coupé. Son succès commercial est illustré par un délai de livraison de 20 à 24 mois.
En 2008, la gamme Rolls-Royce devrait - d'après une conférence de presse de Ian Robertson, CEO de Rolls-Royce Motor Cars Limited - voir l'arrivée d'un coupé 2 portes sur la base de la Phantom Drophead Coupé.
En 2009, une berline de taille inférieure, la Silver Ghost, est annoncée à une prix de l'ordre de 250 000 € HT.

L'Airbus A380


L'Airbus A380 est un avion de ligne civil gros-porteur long-courrier quadriréacteur à double pont produit par Airbus, filiale d'EADS, construit principalement en Allemagne, Espagne, France et Royaume-Uni et assemblé à Toulouse.
Le programme A380, d'un coût total de 12 milliards d'euros[1], a été lancé au milieu des années 1990 sous le nom d'Airbus A3XX. Le premier vol a eu lieu le 27 avril 2005[5] à l'aéroport de Toulouse et le lancement commercial a été effectué le 25 octobre 2007 avec Singapore Airlines entre Singapour et Sydney[6].
Surnommé Super Jumbo, l'A380 est le plus gros avion civil jamais conçu et il est, par ses dimensions, le troisième plus gros avion de l'histoire, après le Hughes H-4 Hercules et l'Antonov An-225. Le pont supérieur de l'A380 s'étend sur toute la longueur du fuselage ce qui donne à la cabine 50 % de surface de plus que celle du Boeing 747-400, son principal concurrent[7].
À l'origine, l'A380 était proposé en deux versions. L'A380-800, la version passager, peut transporter de 555 à 853 passagers suivant la configuration (3 classes standards ou classe économique unique). L'A380-800F, la version cargo, peut emporter jusqu'à 150 tonnes de fret. En raison des problèmes d'industrialisation de l'A380-800 et des annulations des principaux clients, Airbus s'est résolu à suspendre le développement de la version cargo jusqu'en 2015 tout en continuant la prospection commerciale[8]. L'A380-800 a une autonomie de 15 200 kilomètres, ce qui lui permet de voler de New York jusqu'à Hong Kong sans escale, à la vitesse de 900 km/h (Mach 0,85)[9]. Il existe aussi une version Prestige surnommée Flying Palace et destinée au marché des jets d'affaire.

F 117


Cette semaine, la lecture d'Air et Cosmos ne va pas nous rajeunir. L'hebdomadaire aéronautique annonce, sur sa couverture, le retrait d'un avion mythique, le F-117A Night Hawk. Ce bombardier furtif de l'US Air Force a "tiré sa révérence" lundi 21 avril, au terme d'une carrière d'un quart de siècle. Déjà !
Cet appareil, construit par Lockheed, avait l'allure d'un fer à repasser anguleux. Il n'en a pas moins revolutionné l'aéronautique. Le F-177 fut en effet le premier avion furtif, capable d'échapper aux radars. Air et Cosmos retrace son histoire.
Conçu dans les années 70 pour pénéter les défenses soviétiques, il effectue son premier vol en 1981, mais son existence ne sera dévoilée qu'en avril 1990. A peine 59 exemplaires ont été construits et 558 pilotes formés sur cet avion. Sa première mission opérationnelle (connue) date du 19 décembre 1989, lors de l'opération américaine contre le Panama. Son utilité est alors incertaine, mais il prouvera toutes ses capacités durant la première guerre du Golfe (1991), en se jouant complètement des défenses irakiennes, de type soviétique.
Durant la guerre du Kosovo, la défense aérienne serbe parviendra toutefois à abattre un F-117, le 27 mars 1999, avec un missile SA-3 "modifié pour opérer sur de très larges longueurs d'onde", permettant aux radars de détecter cet avion "pendant de très courtes périodes", écrit Air et Cosmos. Or, les pilotes américains utilisaient le même plan de vol, nuit après nuit... Résultat: les Russes récupérèrent des débris de l'engin, leur permettant d'en savoir plus sur sa technologie.
Sa dernière mission (connue) fut un déploiement opérationnel en Corée du Sud, en 2005. Il s'agissait de montrer à la Corée du Nord, alors en pleine posture de prolifération nucléaire, que Washington avait un gros baton... furtif.
Alors que son retrait n'était programmé qu'en 2018, l'explosion des coûts du programme F-22 Raptor a conduit l'US Air Force à se séparer de cet avion dès cette année.
PS: l'autre avion furtif de l'USAF, le bombardier B-2, cloué au sol depuis le crash de l'un d'entre eux en février dernier, vole à nouveau depuis le 15 avril.